Souvenez-vous, oui, convoquez à vous vos souvenirs des rives brumeuses où ils se sont égarés...
Hem...
Bon, revenez juste à l'année dernière, même date, même heure ou à peu près, nous ne sommes plus à une licence poétique près chers amis. L'année dernière, même date, même heure, une drôle d'idée nous venait avec Fashion sous l'influence conjuguée du caffé latté et de Tarantino. Depuis nous avons changé notre fusil d'épaule et nous contentons sobrement de champagne (enfin presque). Avec sobriété j'ai dit. Et modération (enfin presque). Bref, Harlequinades donc. 58 participants plus tard, de l'encre virtuelle coulant à flot tel le sang de l'intrépide guerrier en kilt, le challenge improbable était devenu un truc tout aussi improbable baigné dans l'enthousiasme, les fous rires, le glucose et le début d'une addiction dont certaines ne se sont pas remises.
Du coup, que voulez-vous, nous nous sentons un brin obligées, pour ne pas dire contraintes (ouhhhh, que c'est dur) de lancer les Harlequinades 2010 (affreuse, atroce torture) (ok, j'arrête). Oui, vous avez bien lu.
Le principe est le même que l'année dernière: lire un roman Harlequin ou assimilé (personnellement je recommande chaudement le J'ai Lu Aventures et Passion, mais c'est vous qui voyez, si vous préférez le Harlequin médical, personne ne vous lancera Safari à Marakunda à la tête bien au contraire), le chroniquer. Tout est permis: une thèse sur l'utilité du kilt en période passionnelle, un rapport sur l'influence de la lune sur les bestioles à crocs et sang chaud chaud chaud, un rapport sur les vertus aphrodisiaques méconnues du jasmin, un mémoire sur le vol de bétail en tant que ressort narratif... Vous pouvez même aller jusuqu'à rédiger une nouvelle "harlequin", quelques pages ou quelques paragraphes dans lesquels votre imagination débridée et sans borne, assoiffée de passion pourra laisser libre court à ses instincts.
Pour participer, il vous suffira de crier votre passion (oui, encore), dans les commentaires de ce billet et de tenter de respecter la (kiss me) dead(ly) line (oups, je sors... et puis non) du 30 septembre 2010 où vous voterez avec hystérie bien entendu pour votre billet préféré.
D'ici là, bonne chasse sur les terres sans limites de la passion et que la force soit avec vous!
Ps: comme Ofélia est superbe, merveilleuse, inimitable, adorable, fabuleuse, stiltonienne, elle nous a concoté de magnifiques logos avec lesquels vous pourrez embellir vos antres virtuels. Elle est pas belle la vie? Et en plus vous avez le choix!
Oh yeahhhhh!