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  • Dialectique de la girlitude

     

    A 27 ans, Pulsatilla est passée du statut de blogeuse à celui de d’écrivain prometteur. Un changement qui la laisser elle-même enchantée mais perplexe ! Mais après tout, et-ce si surprenant quand une jeune italienne parle avec un humour dévastateur de tous les aspects de la vie d’une femme ?

     

    Un roman ? Un récit ? Un journal ? Non, un livre tout simplement. Pulsatilla y raconte sa vie, sa famille, ses boulots, ses histoires d’amour désastreuses, le tout entrecoupé de théories hilarantes sur des choses aussi diverses et essentielles que les culottes, les régimes, les coiffeurs. C’est d’autant plus drôle qu’elle ne se passe rien : ses travers d’enfants, ceux de l’adolescente qui a réussi à retourner un pensionnat de jeune fille, les contradictions de la jeune femme qui crache sur la société de consommation plongeant avec délice dans tous ses pièges, l’aveuglement volontaire de celle qui cherche le prince charmant et tombe toujours sur un crapaud,…

     

    Malheureusement, si son humour fait passer la pilule sans aucun problème, le tout est décousu, parfois un peu lourd et pas toujours intéressant. Reste un bon livre à picorer sur la plage.

     

    L’avis de Cathulu 

    Pulsatilla, La cellulite, c’est comme la mafia, ça n’existe pas, Le diable Vauvert, 2008, 258p.