Je te retrouve sur mes sentiers comme au premier jour, tache
rouge d'un manteau sous les frondaisons d'un parc.
Le temps a coulé sous les arbres. J'ai aimé le pays de tes yeux.
Ta main dans la mienne nous avons libéré la peur.
Entre tes seins je regarde le soleil se briser sur un mur blanc au
lit duquel bat une source secrète.
Eblouissante douceur du silence.
Joseph Paul Schneider, Histoire d'amour, Masques du temps, in L'amour et l'amitié en poésie, Folio junior poésie, 2001, 177 p.
Commentaires
Très joli poème !
Je l'aime beaucoup et je vais aller m'acheter l'anthologie d'où je l'ai tiré!